Parvenu au quatrième chapitre et au huitième verset de sa première épître, on vient de déchiffrer ces deux mots : « Dieu est » et on ignore tout du reste de la phrase. Ce qui va suivre demeure une énigme… Quelle attente passionnante, insoutenable !
Tout ce que les philosophes ont tant et si vainement cherché, ce que les plus sages d’entre eux ont finalement renoncé à découvrir, une définition de Dieu, une explication claire de ce qu’Il est, la voici donc ! « Dieu est… ». Que va-t-on nous dire ? Quel est-Il ?
Oui, quel est-Il ce Dieu caché « qui habite une lumière inaccessible que nul homme n’a vu ni ne peut voir, que nous cherchons comme en tâtonnant, bien qu’Il ne soit pas loin de chacun de nous » ? (I Timothée 6:16).
Quel est-Il alors pour nous contraindre, faute d’information, à nous écrier comme Job :
« Oh ! Si je savais comment le trouver ! Voilà, si je vais en avant, Il n’y est pas, et si je vais en arrière, je ne l’y trouve pas davantage, Il se fait entendre à gauche et je ne puis le saisir, Il se cache à droite et je ne l’y vois pas » ? (Job 23:3, 8-9)
Quel est-Il ? Le repos, le salut, l’éternité des hommes, tout est là !
On imagine facilement l’émotion lorsque, penchés sur ce manuscrit ancien, apparaît le troisième mot qui se révèle subitement : amour.
« Dieu est amour »
Que pouvait-on souhaiter de meilleur ? Ce Dieu caché, ce Dieu puissant, ce Dieu saint,
Il est amour. Que faut-il de plus… car qui dit Dieu, dit amour ? C’est cette révélation qui met fin à toutes les anxiétés, gage assuré par l’œuvre de Jésus-Christ de notre salut et de notre félicité présents, futurs, éternels.
C’est cela la Bonne Nouvelle que nous avons reçue et que nous sommes mandatés à faire connaître au plus grand nombre !
Comme le disait à propos Adolphe Monod, « le véritable amour ne se déclare pas seulement, il se montre, ou mieux encore il se donne… car l’Eternel est bon envers tous ».
Et pourtant… Des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants cherchent encore ce troisième mot insoupçonnable de l’affirmation de Jean : « Dieu est amour ».
Notre vocation première, clairement exprimée sans délai par Jésus lui-même dès sa résurrection, demeure valable en cette fin d’année 2019 : « Allez dans le monde entier, annoncez la Bonne Nouvelle à tous les hommes ». Ils ont besoin de savoir et aussi de comprendre !
C’est ce que nous faisons, tous ensemble, de maison en maison, au travers de notre témoignage soutenu par le contact personnel et par le support de la page imprimée.
Votre présence à nos côtés demeure indispensable pour qu’au travers de votre soutien dans l’action, la prière et l’offrande, nous puissions atteindre la dernière famille de notre ville,
de notre région, de notre pays et… du monde !
En ce mois de novembre, alors que le jour baisse vraiment sous nos latitudes, nous voulons plus que jamais faire éclater la lumière du salut dans de nombreux foyers… et tous ensemble.
Pour cela, les équipes de la France métropolitaine, de la Nouvelle Calédonie, de l’Océan Indien, de la Guyane, de la Martinique et de la Guadeloupe s’équipent de nouveaux traités destinés aux nombreux programmes de cette fin d’année.
L’un d’eux, traduit en plusieurs langues, répond aux besoins de l’heure où les cyclones et tempêtes font rage. Il est reçu avec une immense reconnaissance de la part des églises de nos territoires d’outre-mer. Nous avons la joie d’en inclure un exemplaire sous ce pli.
Nul doute qu’il retienne toute votre attention !
Heureux serons-nous dans la réponse que nous donnerons collectivement à ces lignes.
Heureux, si l’on pourra dire de chacun de nous : Il est plein d’amour !
Heureux surtout, si ce Dieu « qui sonde les cœurs et les reins » peut ajouter : Son cœur aussi est amour pour les autres !
Avec l’affection fraternelle et fidèle de toute l’équipe.